Les contradictions restent identiques : admiration pour les suicides dans la littérature, pour les suicides guerriers de militaires qui refusent de quitter leur poste, pour les suicides de résistants qui avalent leur cyanure afin de ne pas parler sous la torture, et, dans le même temps, condamnation de tous ces suicides ordinaires de malheureux dont les motifs ne semblent pas assez nobles.